Jeu des Gobelets, 2003

J’ai associé Coke à l’art. Ainsi, j’ai trouvé Cocart. Phonétiquement «Cocart» est un Cocard. J’ai pensé à la tache, simplement la tache sur un blanc qu’on aurait souhaité parfait. Je suis pour l’imperfection, la tache sur le nez, celle que l’on voit, qui gêne, qui perturbe le regard, on ne sait si on doit rire ou prendre le tout sérieusement. C’est dans le doute (qu’on s’interroge) que les questions se posent et que les réponses ne sont pas données...
La forme du Cocart est alors apparue sur mon visage comme manifeste. Par ce jeu, Cocart, Cocard, le hasard rend un D. Ce D est aussi le dé. Un dé de D qui a enclenché à nouveau le jeu (« jeu des gobelets »)...



Etant donné: 2- coup de dé (cocart light)
Photographie couleur contrecollée sur dibon, 60x 80 cm.

Etant donné: 2- coup de dé (cocart light)
Photographie couleur contrecollée sur Dibond, 60x 80 cm.

Etant donné: 3- mouvement de va et vient
Vidéo, 4’46.